Ma mère ne m’a jamais parlé de peau…

Une réflexion intime sur la transmission, le corps qui change et les gestes qui restent

Ma mère ne m’a jamais parlé de peau… Moi j’en parle à mes filles

J’ai 58 ans.

Il y a quelques jours, en enfilant une robe d’été, j’ai hésité. Pas à cause de la coupe. Mais à cause de mes bras.

Ces petits plis qui s’installent doucement, cette peau plus fine… Et une pensée m’a traversé : ma mère ne m’a jamais parlé de ça.

Jamais un mot sur le vieillissement. Jamais un conseil, une crème, un rituel.

Alors aujourd’hui, je fais l’inverse. J’en parle. À mes filles. Et à toutes les femmes qui, comme moi, redécouvrent leur corps à un âge où on ne devrait plus avoir à le cacher.

 

Le silence de nos mères : une génération pudique face au corps

 

Nos mères étaient discrètes. Solides. Mais souvent silencieuses.

Dans leur monde, on ne parlait pas du corps qui change. Encore moins de la peau.

La priorité, c’était le foyer, les enfants, le travail. Pas les bras fripés. Pas la crème du soir.

Elles ont traversé les décennies sans jamais dire : “Tu verras, à 50 ans, ta peau ne réagit plus pareil.”

Et pourtant, elles l’ont vécu.

 

Ce que j’aurais aimé entendre plus tôt

 

Voici ce que j’aurais voulu qu’on me dise, sans détour, sans honte :

– “Ta peau est vivante. Elle change, et c’est normal.”

– “Ce n’est pas une question de poids ou d’âge, mais de soin et d’attention.”

– “Tu peux aimer ton corps même s’il n’est pas parfait.”

– “Prendre soin de toi n’est pas une coquetterie. C’est une manière de te respecter.”

 

Parler de peau, c’est aussi parler de confiance

 

L’autre jour, ma fille m’a demandé :

“C’est quoi cette crème que tu mets toujours sur tes bras ?”
Je lui ai répondu simplement :
“C’est celle qui me fait du bien. Celle qui me rappelle que je compte aussi.”
Elle a souri. Et j’ai compris que ce geste banal devenait un message.
Parler de peau, c’est lui dire : “Sois douce avec toi. N’attends pas 58 ans pour t’aimer comme tu es.”

 

Mon rituel du soir (et ce que je dis à mes filles)

 

Après la douche, je prends cinq minutes.

Je masse mes bras, mon décolleté, mes genoux. Avec lenteur. Avec soin.

C’est ma manière à moi de dire à mon corps : merci d’être là, même s’il change.

Et quand mes filles me voient faire, je leur glisse parfois :

“Fais-le pour toi. Pas pour cacher. Pas pour plaire. Juste pour te sentir bien.”

 

Et si tout commençait là ?

Ce n’est pas une question de rides ou de résultats.

C’est une question de présence. De regard. De douceur.

Ce que je transmets aujourd’hui à mes filles, ce n’est pas une crème.

C’est la permission d’exister pleinement, à chaque âge, dans chaque peau.

Et ça, c’est un héritage.

Vous aussi, vous méritez ce moment.

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